Abstract
In light of the contemporary global interconnectedness, the quest for enhancing one’s socioeconomic status has emerged as a focal point for certain African diaspora authors. Among these literary figures, Taiye Selasi delves into the intricacies of migration to Western nations for resettlement in her inaugural novel Ghana Must Go (2013). This study delves into the themes of home, exile, and cultural hybridity utilizing a postcolonial framework to illuminate the potential for Africans to define their origins and embrace a novel sense of self.
Keywords : Diaspora, home, exile, cultural hybridity, identity
Résumé
En se concentrant sur la réalité du monde devenu un village planétaire, la quête d’un nouvel environnement propice à l’amélioration des conditions de vie a émergé comme un sujet central pour certains écrivains africains de la diaspora. Parmi ces figures littéraires, Taiye Selasi explore dans son premier roman Ghana Must Go (2013) les intrications de la migration vers les nations occidentales en vue de s’y établir. Cette étude examine les thèmes du chez-soi, de l’exil et de l’hybridité culturelle en utilisant un cadre postcolonial pour mettre en lumière le potentiel des
Africains à redéfinir leurs origines et à embrasser un nouveau sens de soi.
Mots-clés : Diaspora, chez-soi, exile, hybridité culturelle, identité.