Abstract
This essay discusses how the author transforms his experience of political incarceration into an act of written speech, thereby resisting the silence imposed by a power establishment. The collection first exposes the strategy of dehumanization and erasure orchestrated by the authoritarian regime, before showing how writing becomes a space for inner survival. By composing his texts despite imprisonment, Mapanje secures his identity and rejects erasure. His voice goes beyond personal testimony to carry the collective memory of African prisons, creating a space for truth, solidarity, and transmission. Through this act of writing, the author turns literature into a tool of resistance, dignity, and reconstruction in the face of oppression.
Keywords: Political incarceration, silence, writing as resistance, collectivememory, Oppression.
Résumé
Le présent article traite de comment l’auteur transforme son expérience d’incarcération politique en un acte de parole écrite, résistant ainsi au silence imposé par un pouvoir établi. Le recueil expose d’abord la stratégie de déshumanisation et d’effacement orchestrée par le régime autoritaire, avant de montrer comment l’écriture devient un espace de survie intérieure. En composant ses textes malgré l’enfermement, Mapanje préserve son identité et refuse l’effacement. Sa parole dépasse le témoignage personnel pour porter la mémoire collective des prisons africaines, créant un lieu de vérité, de solidarité et de transmission. À travers ce travail d’écriture, l’auteur fait de la littérature un outil de résistance, de dignité et de reconstruction face à l’oppression.
Mots-clés: Incarcération politique, silence, écriture comme résistance, Mémoire collective, oppression.
No responses yet